Tunisie : Que reste-t-il des grandes familles ? On a tous quelqu’un dans notre entourage qui a sorti cette fameuse phrase : « moi j’ai des origines turques » alors voici une liste qui pourrait vous renseigner un peu plus sur les noms de famille en Tunisie qui trouvent leur origine en Turquie ou plutôt ayant un aïeul ayant servi dans le corps des janissaires lors de l’occupation ottomanes de la Tunisie. À l'inverse, note l'écrivain Fayçal Bey, « l'aristocratie traditionnelle a raté sa reconversion. Beaucoup sont d'origine turque ou mamelouke (Circassiens, Géorgiens) - cas des Sahab Tabaa, des Agha, des Kahia, des Caïd Essebsi, des Bach Mamelouk ou des Bach Hamba - et appartenaient à l'aristocratie militaire et à l'administration. Et chacun sait que la fortune et la réputation ne sont nullement des gages d'invulnérabilité. Ce dernier a été l'artisan du tournant libéral de la Tunisie. Il suffit de taper le nom de famille pour connaître le rang de ce nom sur la Tunisie, mais aussi dans les régions. Ils avaient suivi un cursus moderne, bilingue, étaient aussi à l'aise en français qu'en arabe, cultivaient une proximité avec le peuple, lui parlaient dans sa langue, en dialectal, et avaient l'ambition de créer un grand parti de masse. Un terme qui peut aussi bien s'appliquer aux Miled ou aux Bouchamaoui. Exonérations fiscales, facilités d'accès au crédit bancaire, multiplication des créances douteuses : tout a été bon pour favoriser la création de ces « champions nationaux », dont beaucoup continuent de dominer l'économie. Le protectorat a favorisé l'éclosion d'une très entreprenante et très agressive bourgeoisie agraire, industrielle et commerciale. Originaire de Monastir, où elle possédait de vastes oliveraies, la famille Mabrouk est aujourd'hui peu ou prou assimilée aux Tunisois. La demande de document d’état civil tunisien au Consulat suppose d’être en possession de plusieurs pièces justificatives. Et d'ouvrir les comptes de l'entreprise aux regards étrangers. Bien sur, nous savons qu'elle est INCOMPLETE et IMPARFAITE. Le groupe florissant fondé par Ali Mabrouk et désormais dirigé par ses enfants (Marwan, Ismaïl et Mohamed-Ali) contrôle l'enseigne Monoprix et l'hypermarché Géant. Découvrez les noms les plus portés dans votre département Découvrez aussi la carte de France des prénoms. Sous-catégories. 3. Les principes qui le régissent n'ont guère évolué. Et à s'endetter pour couvrir leurs besoins de financement. 'https://www.wepostmag.com/pub/www/delivery/ajs.php':'http://www.wepostmag.com/pub/www/delivery/ajs.php'); Anodine en apparence, cette disposition a suscité dans toute la Régence une farouche émulation scolaire. Le plus emblématique aura sans conteste été celui du président lui-même avec Wassila Ben Ammar. Dirigé par l'ingénieur sfaxien Abdelwahab Ben Ayed, Poulina (agroalimentaire, grande distribution, tourisme) est, avec ses 6 000 employés et ses 770 millions de dinars de chiffre d'affaires, le premier groupe privé tunisien. Avant, l'argent venait de la terre ou du négoce. //]]>-->. « C'était vrai en 1956 et cela le reste aujourd'hui, conclut Vincent Geisser. '&charset='+document.charset : (document.characterSet ? Le Dr Mahmoud el-Materi fut, avec Habib Bourguiba, l'un des fondateurs du Néo-Destour, en 1934, avant de siéger dans le gouvernement Chenik, à la fin des années 1940. À l'affût de la moindre occasion, ses dirigeants n'hésitent pas à faire jouer les réflexes de solidarité régionale. Parfois, elle a usé de son pouvoir à bon escient. Peu connu en Tunisie du fait d'un exil qui a duré 50 ans, il acquiert une importante renommée en France où il est considéré comme le doyen des intellectuels tunisiens. Le nom de famille TUNISIEN est présent sur Geneanet. La Tunisie est un petit pays où tout le monde se connaît. »  Actif dans le bâtiment et l'agroalimentaire, le groupe de Lotfi Abdennadher, ancien président du Club sportif sfaxien, a, quant à lui, intégré le Top 10 des entreprises locales. Le nom le plus commun qui est « Turqui », voici pour le reste: